Un des réponses au problème du changement climatique est de trouver des formes d’architecture durable par « une conception simplifiée » (Conseil des Architectes d’Europe 3). D’attaquer l’architecture et d’essayer de changer nos méthodes modernes est compréhensible à cause du « secteur du bâtiment et de la construction [qui] représente plus de 35% de la consommation d’énergie finale mondiale et près de 40% des émissions de CO2 liées à l’énergie » (Conseil des Architectes d’Europe 6). En ce moment, ces chiffres sont prévenus à augmenter dans les années suivantes. Il y existe quelques principes que le CAE a co-signé avec la COP21 pour être au courant aux moyens pour l’architecture qui incorporent les faits du climat : réfléchir au cycle de vie des bâtiments et aux scénarios de déconstruction, privilégier la régénération urbaine et la réutilisation adaptive de notre patrimoine, placer l’humain au cœur des projets de développement urbain, etc. (Conseil des Architectes d’Europe 9-11).

La construction écologique est une méthode qui trouve des façons de construire autour de la nature, et non pas sur. Par rapport à un article dans LeGrand, la définition de la construction verte ne contient pas à une méthode spécifique. Au même temps, il y a trois aspects impératifs qui doivent être prise en compte : l’utilisation efficace de l’énergie, l’eau et d’autres ressources ; protéger la santé des occupants et l’amélioration de la productivité des employés ; réduire les déchets, la pollution et dégradation de l’environnement (LeGrand 2). D’introduire l’énergie renouvelable et la gestion durable de l’eau, par exemple en utilisant l’eau de la pluie, sont des moyens intégrant dans la méthodologie (LeGrand 7, 10). Aussi, il est nécessaire de retrouver des matériaux qui ne sont pas toxique pour l’environnement comme la brique mono-mur terre cuite qui « ne nécessite pas de doublage isolant ni par l’intérieur, ni par l’extérieur [car] il s’agit d’un matériau auto-isolant » (LeGrand 12). La mentalité impérative à adopter est le fait que les déchets doivent être vue « comme une ressource à exploiter et non comme des rebuts dont il faut se débarrasser » (LeGrand 15).