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Le but du passé...

De manière compréhensible, « la ville telle qu’elle a été conçue au XXème siècle est un modèle obsolète » (Jacquot 2). Mais ça ne veut pas dire que le passé n’est pas nécessaire pour mieux rédiger l’agenda pour le futur.

Le « passé » est nécessaire comme une forme de recherche pour comprendre les tendances dans l’architecture française, pour mettre en contexte comment les changements du futur vont impactés ce qui existe déjà.

Frank Lloyd Wright, dans Broadacre : Misère de l’Homme des Grandes Villes Actuelles, écrit qu’il « a échangé son commerce originel avec les rivières, les bois, les champs et les animaux, pour l’agitation permanente, la souillure de l’oxyde de carbone et un agrégat de cellules à louer posées sur la dureté d’un sol artificiel » et que « La vie du citoyen « urbanifié » est artificielle et grégaire, elle devient l’aventure aveugle d’un animal artificieux » (Choay 299).

Lewis Mumford, dans Paysage Naturel et Paysage Urbain, écrit que « Le XIXe siècle fut avant tout conscient de la fonction hygiénique et sanitaire des espaces libres » et il « souligne la nécessité biologique des espaces libres » (Choay 359).

Kevin Lynch, dans Structure de la Perception Urbaine : L’Image de la Ville, écrit que « La question de signification dans la cité est complexe…construire les villes pour la satisfaction d’un grand nombre d’individus…puissent satisfaire également aux besoins imprévisibles de l’avenir…laisser les significations se développer librement sans notre intervention directe » (Choay 389).

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